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dictatortots reviews
Paul Tod Rieger
The Dictatortots show was better than I expected. You could really find an
audience. The girls in Athens have bigger boobs than I'm used to. I was
impressed. And Sue is hot!
From ein zwei drei, Hamburg, Germany:
The Dictatortots haben barrelled in die zeitgenössische europäische Musikszene mit Stärke und
Art. Ihre Musik definiert noch einmal die Grenzen der elektronischen Musik um. Vorlagenanreihungen
" Snake " und " das Reaver " legen einen konstanten Schwall der experimentellen Geräusche und
der Proben nieder, während mixmasterdj " Dr. Ass " die Abstände mit AltartHüfte-hopfendem löschen
ausfüllt. Das antics des Unterhaltes " M.C. Hatchet " es aller vom Sein das übliche
Licht-und-Laser-und-ecstacy die Erfahrung. Neuauflage " Sue Blime " fügt eine elegante
traditionelle Note mit ihrem handmadespinett hinzu.
Put das Dictatortots auf Ihrem " muß Liste
sehen ", naechstes Mal wenn sie Hamburg schlagen. Sie sind Sie froh.
From die a thousand deaths, Petrograd, Russia:
Le Dictatortots ont lâché un unslaught de unparalled la férocité sur jaded et les oreilles de
ricaner de la scène russe en métal de la mort. Les riffs de formation de soufflures de guitare, le
feedback mal de tête-headache-inducing, les tonnes de sang faux et les disembowelments
terminent leur exécution. La dernière exposition dans la rue Petersburg a envoyé 43 ventilateurs
overexuberant à l'hôpital, et la police d'émeute a dû finalement fermer l'exposition en bas de plus de
deux heures après se fermer programmé. La bande, entourée par le gaz lacrymogène et les
amplificateurs brûlants, répondus en composant la musique riff-lourde d'émeute sur place.
Sur
leur version de prison, deux nouveaux albums, y compris " l'émeute de phase " et " moi vous
détruiraient maintenant mais j'ai besoin de quelque chose attendre avec intérêt le demain " serai
aussi bien libéré. Soyez sûr de le contrôler dehors - une bande que ceci possédé grillera
rapidement.
From the Rolling Stone Album Guide, 1992:
Stoned-out, dumb, clumsy, soulless, overamplified and ugly: surely rock was sinking to
an all-time low with this satanic claptrap.
[…]heavy metal albums the old-fashioned way, with plenty of sludgelike guitar, dime-store
satanism and the sort of vocal vibrato usually found in aging Salvation Army workers.
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